Un des derniers dossiers spéciaux de l’Étudiant, consacré aux filières anticrise, analyse précisément les formations, leurs coûts et leurs débouchés, pour repérer les plus rentables… Un nouveau signe que la formation est aujourd’hui un véritable marché, où l’image-prix et le rapport qualité-prix deviennent es critères de choix cruciaux.

Un atout pour les formations publiques

Le dossier classe les formations en plusieurs catégories, en fonction de leur coût. Les formations publiques sortent grands vainqueurs de ce classement, en raison de coût très faibles. Les études de gestion universitaires et les écoles publiques d’ingénieurs sont à ce titre plébiscitées.

Quel impact pour la communication ?

Ce dossier montre que les formations ont tout intérêt à travailler leur argumentaire en termes de rentabilité, de retour sur investissements et de coûts. La prise en compte du rapport qualité-prix par le marché amène des mouvements inédits. HEC voit par exemple croître le nombre de candidats admis préférant école moins bien classée, en raison de l’augmentation des frais de scolarité.

La notion de débouchés, déjà très largement utilisée, doit donc être enrichie, pour préciser la valeur économique des formations.

La montée en puissance de ce critère de choix peut permettre à certaines formations de développer de nouveaux arguments et de se positionner en termes de rentabilité plutôt qu’en termes de prestige. C’est le cas pour les formations courtes du secteur public, qui donnent accès à des métiers aux rémunérations attractives.


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